mercredi 22 février 2012

Oscar et la dame rose

RÉSUMÉ

L’histoire se déroule en 1960.

Oscar est un petit garçon qui vit à l’hôpital des enfants, car il a une leucémie. Il a dix ans, mais il pense qu’il a l’air d’en avoir sept et que sa tête ressemble à un Crâne d’Œuf à cause de son cancer. À l’hôpital il fait la connaissance de Mamie-Rose, la « dame rose », qui travaille là pour réconforter les enfants malades. Elle encourage Oscar à écrire des lettres à Dieu pour se sentir moins seul. Bien qu’il ne croie pas vraiment que Dieu existe, il le fait et lui demande un vœu par jour. Pour aider Oscar à prendre plaisir au reste de sa vie, Mamie-Rose lui donne la possibilité de faire la connaissance de chaque étape de la vie en inventant un jeu dans lequel un jour compte pour 10 ans. En conséquence, elle améliore le reste de sa vie. Dans le reste du livre, on parlera de son « âge », 10 ans de plus à chaque lettre. Finalement, il meurt à 110
Moment préféré: « L’hôpital, c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir. Moi je ne fais plus plaisir.

Depuis ma greffe de moelle osseuse, je sens bien que je ne fais plus plaisir. Quand le docteur Düsseldorf m’examine, le matin, le cœur n’y est plus, je le déçois. Il me regarde sans rien dire comme si j’avais fait une erreur. Pourtant je me suis appliqué, moi, à l’opération ; j’ai été sage, je me suis laissé endormir, j’ai eu mal sans crier, j’ai pris tous les médicaments.

Certains jours, j’ai envie de lui gueuler dessus, de lui dire que c’est peut être lui, le docteur Düsseldorf, avec ses sourcils noirs, qui l’a ratée l’opération. Mais il a l’air tellement malheureux que les insultent me restent dans la gorge. Plus le docteur Düsseldorf se tait avec son œil désolé, plus je me sens coupable. J’ai compris que je suis devenu un mauvais malade, un malade qui empêche de croire que la médecine, c’est formidable.
La pensée d’un médecin, c’est contagieux .Maintenant tout l’étage, les infirmières, les internes et les femmes de ménage, me regarde pareil. Ils ont l’air triste quand je suis de bonne humeur ; ils se forcent à rire quand je sors une blague »

Ce que j'ai aimé de ce passage: Ce passage est pour moi le reflet de ce que pourrait ressentir un patient si j'agis de cette façon avec lui. Cela me fait donc réaliser qu’il faut avoir un comportement adapté par rapport à l’approche de la mort de quelqu’un, afin que celui ci ressente le moins possible qu’on le considère comme une personne qui est sur le point de mourir, même si c’est le cas. Ce passage est donc le reflet du regard d’un enfant sur la vie, la maladie et la mort.


APRÉCIATION : Premierement ce livre est de loin un grand succès, car il nous fait réfléchir sur les étapes de la vie qu'on va peut-être vivre plus tard et il vient nous chercher pendant la lecture.


Qu'est ce que j'ai vraiment aimé de ce livre c'est qu'il y a beaucoup d'information bien coordonné dans un court livre qui n'as seulement que 99 pages. Moi qui n'est pas un bon lecteur a eu de la facilité a lire le cette histoire grâce a la façon que l'auteur a bien diriger ses information de sorte a ce que tout les sortes de lecteur, qu'ils soient bon lecteur ou non.

Deuxièmement ce livre est une histoire extrêmement touchante , j'en a même pleurer durant la lecture . Et même la langue utilisé ( standard et familière ) est de façon pour garder les lecteur intéressé. En voici quelques exemples. 1:" L’hôpital, c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir."2:"Certains jours, j’ai envie de lui gueuler dessus, de lui dire que c’est peut être lui, le docteur Düsseldorf, avec ses sourcils noirs".
Pour finir je conseille ce livre a toute les sortes de lecteur que tu soi bon ou moins bon ce la ne fais pas de différence avec ce livre qui est un des meilleur livre que j'ai jamais lu , il est très profond et il est très bon.

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